[Mission] A l'attaque du centre d’inoculation principal

Participants :
- Ishmael
- Armantel.
- Ume
- Néault
- Altan
- Vaeviane
- Armell

Ce jour se voulait important puisque notre cible n'était autre que le principal laboratoire du culte. L'objectif était simple : mettre notre adversaire dos au mur et nous rapprocher toujours plus de la mère.

C'est cette sensation familière de corruption qui nous accueuilli arrivé au site du labo, si la diversion offerte par Crowley nous a permis de ne trouver aucune résistance il a tout de même fallu manoeuvrer parmi d'antiques pièges gelmorréains pour accéder au labo. Passant par des couloir aux gravures semblant représenter des scènes. Et autant dire que ce n'était pas l'histoire la plus sympathique du monde. On y a vu des corps mutés, des créations qui rampent, des bras tendus vers une silhouette de femme imposante, probablement la mère mais dans une représentation différente de ce que nous avions pu voir jusqu'à présent.

Spoiler:

Nous sommes finalement arrivé au labo en lui même où un savant mélange de magie et d'alchimie était a l'oeuvre. Savant, ou plutôt, démoniaque. Partout des cuves s’alignaient, dans lesquelles des silhouettes flottaint. Certaines avaient encore une forme humaine, quand d'autres n'étaient plus que monstruosités difformes. A notre grande horreur, certaines silhouettes étaient des enfants. Entre les rangées de cuves, des tables étaient alignées, portant encore sur elles des restes d'expériences ratées. Quelques cuves étaient ouvertes, et leur contenu ne semblait plus là. Nous avons appris plus tard qu'elles avaient rejoins le combat de Crowley.

Spoiler:

Spoiler:

Heureusement Ishmael a rapidement repéré et mis hors course l'ingénieur du labo, je n'ose imaginé ce qu'il aurait lâché sur nous s'il en avait eu le temps.
Alors que certains s'occupaient de poser des explosifs aux endroits stratégique, que Néault s'occupaient de récupérer les données du terminal, les autres ont commencés à explorer.

C'est alors que je fis une découverte troublante. *là les inscriptions se font plus tremblante puis l'écriture plus rapide, comme si ça avait été expédié pour en finir au plus vite avec ce passage*. La cuve 73 dans la rangée des enfants contenait un enfant d'environ 3 ans possédant une ressemblance troublante avec Vaeviane. A l'arrivée de celle ci il fut demandé d'ouvrir la cuve et elle reconnu son fils que l'on croyait pourtant mort-nés à cause de ce que le culte à fait à Vaeviane.
Des expériences ont été menés sur... enfin bref. Ce passage de la mission n'est pas nécessaire pour la bon déroulement de ce rapport. Vaeviane est resté avec son fils, qui n'a probablement pas survécu aux activités du culte.

Quand au reste du groupe nous sommes entrés dans la salle suivante, déverouillé par Néault pour découvrir une immense salle, aux murs portant de nombreux parchemin poussiéreux, et en face, au fond, assis sur le trône, un vieil Elézen qui regardait Néault. Il s'agit là d'une supposition personnelle mais je pense qu'il s'agissait du patriarche de la famille Chantesonge, l'une des trois fondatrices du Culte.

Spoiler:

A peine entré dans la salle Ume et Altan ont vu le vieillard posé les yeux sur eux et se retrouvèrent immédiatement figé, tout comme Néault. Trois yeux apparurent devant pour continuer à les fixer. Heureusement Armantel a eu le bon réflexe et a créé un mur autour de la corneille à trois yeux pour bloquer son champ de vision libérant ainsi nos compagnons. J'ai alors créé un sort le rendant aveugle et c'est donc sans danger que nous avons pu approcher. Alors que tout se préparait autour de moi pour faire sauter le lieu j'ai pu examiner la peau du vieux découvrant qu'il portait nombre d'inscriptions sur lui ainsi qu'une carte. Les inscriptions suivantes étaient dessous :
"Où repose l’œil de la Mère, reflétant éternellement les étoiles de la voûte étoilée."
S'en suivait des notes indiquant un sanctuaire au cœur de la montagne. J'en déduis que le fragment de carte peut nous mener au Miroir servant de lien entre la Mère et notre monde.

Nous ne sommes plus loin, nous la tenons.